Le 15 aout, c'est donc sur un circuit modifié et un peu moins "engagé" que les années précédentes qu'environ 25 hommes et 3 femmes en ont décousu. Plusieurs stars de la discipline, Glouchkov (débarqué de l'avion à 15 heures pour une course à 18h...), Paredi, Pshitt, et de nombreux fondeurs Darragon, Perrillat, Duvillard, étaient présents. Oli et Arnaud, engagés dans la même demi finale, n'ont pu accéder aux quarts, Oli un peu "juste" pour rattraper le groupe après une chute devant lui, Arno se faisant un peu "tasser" dans l'avant dernier des 6 tours pour parvenir à prendre une des 5 places en finale.
En finale, on retrouve tous les costauds. Le peloton s'observe pendant la première moitié, et au cinquième tour, contrant une attaque de Duvillard et Fanjas (je crois), Pshitt fait sa "spéciale": il part tout seul, à fond pendant 1 tour et demi, creuse l'écart. Derrière, on s'observe, Darragon essaie de secouer le groupe mais en vain, Perillat tente de monter le "train", et c'est Guillaume Berhault qui essaie de jouer le doublé au dernier tour. Personne ne reverra Pshitt, qui s'impose donc avec talent, devant Darragon et Glouchkov. Chez les filles, c'est l'italienne Rosa qui l'emporte devant Vina et Weibel.
Le 16 aout au matin, tout ce petit monde, largement renforcé par de nombreux membres des équipes de France masculines et féminines de Ski de Fond, s'attaquait à la montée du Chinaillon. Pour certains comme les brigands, la nuit fut courte, réveillés qu'ils ont été par la pluie sur le toit de leur "hébergement" (leur voiture en fait). Classiquement, tout le monde part groupé jusqu'au premier virage, puis le rythme devient trop difficile à tenir pour la plupart, dont Arno et Oli qui se retrouvent esseulés, l'un derrière l'autre, le cycliste devant. Nous terminerons dans cet ordre avec 7 secondes de différence, à 5'38 et 5'45 de la tête (quand même).
Chez les professionnels, on trouve 1 Rousselet, 2 Perillat, 3 Duvillard, 4 Paredi, 5 Vittoz, 6 Theodule 7 Pshitt. Le résultat de la montée ici
En finale, on retrouve tous les costauds. Le peloton s'observe pendant la première moitié, et au cinquième tour, contrant une attaque de Duvillard et Fanjas (je crois), Pshitt fait sa "spéciale": il part tout seul, à fond pendant 1 tour et demi, creuse l'écart. Derrière, on s'observe, Darragon essaie de secouer le groupe mais en vain, Perillat tente de monter le "train", et c'est Guillaume Berhault qui essaie de jouer le doublé au dernier tour. Personne ne reverra Pshitt, qui s'impose donc avec talent, devant Darragon et Glouchkov. Chez les filles, c'est l'italienne Rosa qui l'emporte devant Vina et Weibel.
Le 16 aout au matin, tout ce petit monde, largement renforcé par de nombreux membres des équipes de France masculines et féminines de Ski de Fond, s'attaquait à la montée du Chinaillon. Pour certains comme les brigands, la nuit fut courte, réveillés qu'ils ont été par la pluie sur le toit de leur "hébergement" (leur voiture en fait). Classiquement, tout le monde part groupé jusqu'au premier virage, puis le rythme devient trop difficile à tenir pour la plupart, dont Arno et Oli qui se retrouvent esseulés, l'un derrière l'autre, le cycliste devant. Nous terminerons dans cet ordre avec 7 secondes de différence, à 5'38 et 5'45 de la tête (quand même).
Chez les professionnels, on trouve 1 Rousselet, 2 Perillat, 3 Duvillard, 4 Paredi, 5 Vittoz, 6 Theodule 7 Pshitt. Le résultat de la montée ici
